La tanière de Lyokoï

Bonjour/bonsoir!

Je vous ai peut-être manqué, mais me revoilà ce soir pour une réflexion sur l'héritage. Je ne parlerai pas beaucoup de l'héritage matériel (argent, meubles...etc) mais surtout de l'héritage immatériel que nous recevons de nos parents et grands-parents (et arrières-grands-parents pour les plus chanceux! ^^ ).

Alors, je vais partir d'une situation qui est la mienne et je pense aussi d'une certaine partie de la population : je ne sais pas vraiment grand chose de l'histoire de ma famille à part celle que j'ai vécu. C'est dommage, j'ai soif de savoir ce que faisait mon arrière-grand-père, et tout les autres. Pourquoi je porte ce nom de famille? Pourquoi il y en a autant de différents dans la famille? Qui est parti? Sommes-nous nombreux? Avons-nous un lieu, un village de rassemblement? Tant de questions surgissent de ma tête!

Les héritages culturels sont, à mon humble avis, des savoirs extrêmement importants qui permettent la stabilité sociétaire d'une famille et des individus en particulier. Sans pour autant que ce soit un poids (on est pas obligé de suivre les bêtises des anciens, hein! ^^) ça permet à beaucoup de gens de se positionner et de profiter du savoir et des expériences des ancêtres. Est-ce à cause de cela que beaucoup de gens se retrouvent perdus dans la société individualiste que nous constituons? Sans parler de retour définitif aux racines, je citerais volontiers ce petit proverbe africain :"Si tu ne sais pas où tu vas, regarde d'où tu viens".

Alors? Avez-vous la chance de connaître toutes les histoires de tout le monde chez vous ou bien serait-il temps de vous replonger dans votre généalogie? Personnellement, la prochaine fois que je vois mon grand-père je lui extorque mon arbre généalogie sous menace d'un procès pour rétention d'informations capitales pour ma réussite dans la vie! ^^

Bonjour!

Suite à une petite réflexion sur les miracles et apparitions catholiques avec des proches, il m'est venu à l'idée d'un récit sur ce sujet ô combien polémique, et donc génial.

C'est l'histoire d'un prêtre sans grande conviction qui gère sa paroisse efficacement et sans anicroche. Un soir alors qu'il fermait son église, il aperçoit la vierge, animée dans son champ de vision. Elle le regarde et lui sourit. C'est avec éffarement et une profonde humilité qu'il la regarde aussi et s'assieds sur le parvis à la comtempler. Il finit par s'endormir par terre et est réveillé par les gendarmes le lendemain.

Le prêtre est emmené au poste pour qu'il s'explique et qu'il prenne un bon petit dèj. Pas très sûr de lui, il ne dit rien sur les apparitions, mais est quand même envoyé à l'hôpital pour un diagnostique de santé. Alité pendant cette journée, il reçoit la visite d'un autre prêtre du diocèse à qui il raconte sa mésaventure. Et alors qu'il terminait son récit, la vierge réapparait devant lui, assise sur une chaise. Choqué, il ne dit plus rien et demande au visiteur s'il voit où se trouve la chaise au fond de la salle. Bien sûr, l'autre prêtre ne voit rien d'autre que la chaise.

Et notre héros s'ouvre petit à petit au désespoir. Il voit la vierge tout les jours, de plus en plus longtemps. L'Eglise catholique a de quoi juger de la nature d'une apparition ou d'une simple hallucination avec des critères stricts. Et le prêtre, manque à un seul de ces critères (libre à l'auteur de choisir). Il est donc envoyé en asile psychiatrique et est suivi par des médecins et des érudits du vatican.

Ce n'est qu'un début d'histoire, la fin est à votre choix et faites en ce que vous en voulez. De mon point de vue, il me semble intéressant que le prêtre passe par plusieurs états, l'admiration d'abord, puis la dépression, le refus, la folie etc... Et plus il s'enfonce, plus la vierge sourit avec insistance.

A vous de jouer!

Il est un adage urbain que l'on entend souvent : "l'amitié entre garçon et fille, c'est impossible".

Si l'on considère cette relation dans le domaine de la biologie et de l'éthologie, c'est tout à fait vrai. L'homme et la femme n'ont que pour but de se reproduire pour faire perdurer l'espèce et cela à travers leur gènes si possible. Ainsi toute relation ne sera qu'une relation n'ayant pour but final que la reproduction.

Mais l'homme est au-dessus de ces considérations. Son niveau de conscience est trop élevé pour que sa vie ne soit limitée qu'à ça. Et nous voilà donc devant l'eternel dilemme : "A quoi ça sert alors?".

Est-ce que ce dilemme ne pourra pas être la condition sine quoi none qui permettrait à nos deux genres de considérer ce rapport autrement qu'un acte de reproduction de préservation?

Mais cela ne clarifiera pas les choses pour autant. La vie en couple établit n'es pas simple mais au moins les rapports sont (la plupart du temps) clairs et avoués. Mais pour des personnes seules se fréquentant très souvent, l'ambiguëité de la situation mène, à mon avis, à de nombreux quiproquos qui seront interprétés et donc seront en majeure partie responsable de l'apparition de nouveau quiproquos enchaînant ainsi une spirale qui n'a ps beaucoup d'issues.

La première et la plus simple est le rapprochement des deux concernés si les sentiments convergent. Mais ce n'est pas souvent aussi simple. Les sentiments sont toujours liés au doute et à l'incompréhension (on n'est pas dans la tête de l'autre... c'est comme ça). Peut-on donc attendre de mieux connaître quelqu'un avant de lui dire qu'on l'aime au risque de se voir mal interpréter, ou bien faut-il prendre le dessus tôt afin que tout soit clair dès le début, au risque que cette relation se découvre des incompatibilités ensuite?

La seconde issue que j'ai envisagé c'est l'érosion de cette spirale sur le long terme. En effet, si rien n'est fait sur un temps trop long, les incompréhensions finiront par s'effacer mais laisseront place à l'habitude et voire au désintérêt.

L'amitié n'est-elle qu'un niveau d'amour? N'est-elle qu'un intérêt secondaire par rapport à une relation privilégiée? Ne peut-on avoir des amies du genre opposé que du moment où nos sentiment sont presque entièrement tourné vers une personne en particuliers et donc ce qui reste permettrait de se lier aux autres sans vouloir allez plus loin?

Célibataire, quelle triste situation...

Voici une petite idée que j'utilise dans quelques uns de mes textes. En fait, je l'aime tellement que je vous la partage. C'est un petit synopsis qui peut aider les gens en manque d'inspiration.

L'histoire commence de façon extrêmment banale, avec un type banal qui se promène dans une rue banale. Bon c'est pas tout à fait vraiment banal parce que le type en question a obtenu on ne sait comment la maîtrise totale de son milieu, une sorte d'ataraxie. Concrètement il peut altérer la réalité à la limite de son imagination. En fait, il ne peut ni détruire ni créer la matière, il peut juste transférer les énergies qui lient le tout. Scientifiquement, il peut stopper des balles, ou un voiture en plein élan en détournant l'inertie voire en faisant un autre truc avec. Il peut ainsi bouger les murs, une particule atomique ou tout un océan. De même manière, il peut intervenir sur les êtres vivants, pour peut qu'il arrive à visualiser ce qu'il fait. Par exemple, pour soigner une fièvre, il lui suffit de penser à faire baisser la température. Il est capable d'améliorer ses sens (et oui, ce ne sont que des captations d'énergie et de flux!) pour affûter ses actions.

Enfin voilà, c'est un type invincible, et monstrueusement dangereux. Mais socialement, il est en fait carrément à l'ouest. Il est plutôt jeune, et ressort pas dans la foule. Il ne sait pas parler au femmes, ni aux autres d'ailleurs et a toujours vécu seul. Par contre, c'est un type gentil qui hésite pas à aider les gens, en faisant le maximum pour que ses actions ne soient pas découvertes quand il utilise ses pouvoirs.

Et sans n'avoir rien provoqué, il se retrouve pris en otage et emmené dans un vieux hangar. Répugnant l'utilisation de ses pouvoirs, il découvre que ses ravisseurs sont des types pas idiots qui pensaient se faire de l'argent avec une rançon. Sauf que notre homme n'a pas de famille...

Il découvre en jouant le jeux du type perdu, qu'en fait il a affaire a un grand réseau de trafiquants d'être humain. Ne connaissant aucune technique policière, il décide de connaître l'étendu de la chose par son expérience. Il est finalement enfermé sans n'avoir rien pu faire de"normal" avec d'autres otages. Après avoir soigné un autre jeune homme, il entend un cri de femme venant du fond du couloir de la prison illégale. A la vue de l'urgence, il décide d'agir et utilise ses pouvoirs pour faire fondre les barreaux et cours jusqu'au lieu du son. Il découvre trois hommes qui se préparaient à violer une jeune fille d'origine asiatique aux vêtements complètement déchirés. Surpris les hommes se jettent sur leurs armes qui leur fondent instantanément dans les mains. Ils sont ensuite directement assommés par une une décharge d'énergie dans le corps.

Le héros "Réunifie" les habits de la victime, lui demande de les enfiler et ressort de la cellule.

Voilà, j'ai pas d'idée pour la suite. Vous pouvez tout utiliser, ou juste un bout. Si vous voulez des précisions scientifiques ou non, n'hésitez pas à poser vos questions! ^^

L'espace, cette immensité sans limite, sans lumière et sans repère. L'homme y a été. Youri Gagarine d'abord. Puis d'autres russes. Et plus loin. Toujours plus loin. Jusqu'à la lune avec apollo 11.

Mais pouvons nous aller plus loin? Techniquement, oui. Il suffirait qu'on s'y mette. Mais cela ne rapporte rien ou pas grand chose. Et puis c'est dangereux. Mais ça c'est comme partout. La vie est dangereuse parce qu'elle n'est qu'une exception au milieu d'une univers particulaire et minéral.

Alors selon vous, faut-il retourner dans l'espace. Peut-on encore rêver de ces conquérants de l'inconnu qui étendent les frontières de l'humanité? A-t-on encore le droit de vivre en regardant en haut avec un sourire d'admiration? Ou bien faut-il d'abord regarder à côté de soi, et aider ceux qui sont dans le besoin? Est-ce que l'humanité doit abandonner ses rêves pour sortir ceux qui sont dans la misère. Mais sortirons-nous un jour de cette misère pour que nous puissions alors lever la tête et dire : "Il est temps. A partir de maintenant je m'élêve et j'avance dans le noir le plus complet à la recherche de la lumière qui m'a créé."

Je reprendrais pour terminer ce billet par une phrase de Jean-paul II : "N'ayez plus peur."